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« Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde » 

Mahatma Gandhi  

Mon parcours

A la suite d'un problème de santé, j'ai cherché diverses façons de prendre soin de mon corps et de mon esprit. C'est sur ce chemin que j'ai croisé la voie des plantes. J'ai pénétré leur monde tout d'abord de façon autodidacte mais, très vite, l'envie d'en connaître davantage, de tisser plus de liens avec elles s'est fait ressentir. 

J'ai alors suivi de nombreux ateliers en ligne ou en présentiel, notamment auprès de paysans-herboristes. Puis, j'ai consolidé mes connaissances en suivant la formation Herbaliste de 3 ans au sein de l'Ecole Lyonnaise des Plantes Médicinales et des savoirs naturels (ELPM). 

A la suite de cette formation, j'ai créé mon entreprise Le murmure des herbes sauvages. C'est à travers elle qu'aujourd'hui, je partage mes connaissances au sein d'ateliers auprès d'adultes ou d'enfants. Je souhaite réellement que chacun renoue avec ces savoirs oubliés, tout en se reconnectant à l'ensemble du Vivant de manière sensible. 

Crédit photo © Ophélie Gourdet

Ma formation

Certifiée Herbaliste par l’École Lyonnaise des Plantes Médicinales et des savoirs naturels (ELPM) en 2025 après avoir suivi la formation Herbaliste d'une durée de 3 ans où j'ai étudié la phytothérapie, la physiologie et pathologie, la botanique, la chimie verte, la diététique et nutrition, l'aromathérapie.

Le nom Le murmure des herbes sauvages m'est venu assez naturellement, peut-être parce que je m’identifie beaucoup aux images auxquelles ces mots me renvoient.

Aussi, quand j’entends le mot « murmure », j'imagine une délicate pluie d’été dont les fines gouttelettes viennent effleurer ma peau, les feuilles, les pétales des végétaux. Elles s’y fraient alors un chemin à travers lequel elles glissent avec douceur. Je me laisse toucher par la poésie et la beauté de ce qui m’entoure. Dans cet état de torpeur, j’ouvre mon coeur et goûte le moment présent. Je suis connectée.

Le mot « herbes » résonne en moi comme que quelque chose de moins sage et de plus rebelle que le mot « plantes » auquel j’avais songé au départ. Il me relie à celles que l’on nomme si injustement « mauvaises herbes » . On peut les arracher sans vergogne, essayer de les détruire, les piétiner négligemment en oubliant leurs richesses, mais, profondément enracinées, elles finiront par repousser ici ou ailleurs. Elles m’enseignent une certaine forme de résilience et de sagesse. Je ne crains plus l’adversité et n’ai plus peur de devoir m ’éteindre pour renaître à nouveau. Je suis ancrée et à ma place.

Quant au mot « sauvage », il m'emmène au sein d'une communauté de femmes guerrières pacifistes qui, avec courage et conviction, sèment les graines d'un monde meilleur au sein des endroits les plus arides et indomptables. Elles me relient à mes rêves. A travers elles, je suis insaisissable et ma volonté inébranlable. Je sais que je suis sur le bon chemin sans savoir exactement où je vais vais. Pourtant, j’y vais avec courage et conviction. Ma seule envie est d’être libre, vibrante : je me sens vivante !

Pourquoi ce nom ?